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Samedi 30 octobre 2010 à 14:52

Par rapport aux supports dédiés ou aux applications, les livres dans le navigateur (Books in browsers) offrent un dispositif dédié permettant

    * une expérience semblable à la lecture de livre ;
    * la liberté de choisir parmi de nombreux dispositifs techniques ;
    * la liberté de publier des ouvrages sans avoir à obtenir l’approbation d’une société
    * et la capacité à mettre en place des bibliothèques de prêt de livres numériques.

Les fonctionnalités du navigateur web permettent dès àbuy dreamweaver présent de supporter des applications complexes, en ajoutant la possibilité d’acheter et d’emprunter des livres. Sans compter que la plupart des appareils sont compatibles avec le web, de sorte que le nombre de lecteurs potentiels est énorme. Nombreux sont ceux qui se convertissent à cette forme de lecture, estime le cofondateur d’Internet Archive. Google a promis que Google Edition sera disponible via les navigateurs. Amazon vient de lancer un navigateur pour PC et MAC récemment. Ibis Reader, Book Glutton, sBook, Republish comme le lecteur cheap dreamweaverd’internet archive sont autant de lecteurs qui permettent dès à présent de lire un livre via son navigateur.

L’avantage, estime Brewster Kahle est que via ces outils, les éditeurs peuvent facilement se lancer dans les affaires, les libraires également, les auteurs peuvent se prendre en charge et les lecteurs avoir facilement accès à toutes les oeuvres. Lire via les navigateurs est un moyen d’offrir la richesse des livres au maximum de personnes et permet à toute la chaine du livre de tirer parti d’un écosystème ouvert où chacun sera à même de vendre, acheter, emprunter et lire l’abondante littérature disponible en ligne.
Et les avantages de l’accès à la lecture via le web ne sont pas négligeables, loin debuy dreamweaver cheap là comme l’illustre très bien Samuel Klein dans sa présentation de l’offre disponible pour l’OLPC (.ppt).
Taxonomie et avancée de la lecture sociale

Mais ce qui m’a semblé le plus intéressant dans les présentations disponibles de cet évènement, c’est le bouillonnement que l’on ressent autour de la lecture sociale. Bob Stein de l’Institut pour le futur du livre a ainsi esquissé une typologie de la lecture sociale.

La lecture sociale est un concept qui regroupe des choses très différentes, explique-t-il, qui va des passages les plus surlignés par l’ensemble des possesseurs du Kindle au lecteur Kobo (qui permet de tchatcher avec des amis, recommander des livres…). D’où le besoin de livrer une taxonomie de la lecture sociale pour distinguer les différents comportements dont il est question. Bob Stein distingue ainsi 4 catégories :

    * Discuter d’un livre en personne avecbuy cheap dreamweaver des amis et connaissance (que ce soit de manière physique ou online), ces discussions sont souvent informelles, synchrones, éphémères.
    * Disctuter d’un livre en ligne : cette forme d’échange se fait en ligne, de manière informelle, elle peut-être synchrone ou asynchrone, mais est persistante). Qu’elle ait lieu dans des forums, sur des blogs littéraires ou sur des sites spécialisés (Shelfari, Goodreads, Librarything ou Amazon), voir même via des outils de bookmarking (Digg, Delicious, Zotero…), ces systèmes permettent à des gens de créer et partager des listes annotées de ce qu’ils ont lu, de rédiger des critiques et d’y réagir. Une partie de ces fonctionnalités sont désormais accessibles via Facebook ou via des ereaders, comme la fonctionnalité du Kindle permettant de voir les passages les plus annotés, que Bob Stein estime être de bas niveau, car anonyme. Même si ces systèmes ont tendance à archiver de manière pérenne les commentaires, la difficulté à les retrouver fait qu’une grande partie de ces discussions sont plus éphémères que persistantes.
    * Discuter d’un livre dans un groupe (de manière physique le plus souvent, formelle, synchrone et éphémère). C’est le cas d’un livre discuté en classe ou dans un club, comme ce fut le cas sur Infinite Summer, un site dédié à la lecture de l’oeuvre de l’excellent Foster Wallace.
    * S’engager dans une discussion dans les marges du livre (en ligne, formelle, synchrone ou asynchrone et persistante). De nombreux systèmes permettent de mener une discussion en profondeur sur un livre (CommentPress, DigressIt, BookGlutton… voir BookStrapping) en attachant des commentaires à des passages particuliers de livres, rendant la conversation partie intégrante du texte ou étendant la notion de contenu à la discussion qu’elle engendre. La capacité à mener des conversations dans la marge s’avère particulièrement intéressante pour des étudiants ou des chercheurs, explique-t-il en faisant des liens vers quelques expériences en ce sens.

Cet effort de catégorisation permet bien de distinguer plusieurs niveaux de conversation et d’échanges autour du livre et commence même à dessiner des business models du livre.

D’autres interventions ont mis l’accent sur la lecture sociale, comme celle du réseau social de lecture, GoodReads, et ses 4 millions de contributeurs. GoodReads revendique 900 000 livres marqués comme à lire, et a engrangé 1 million de commentaires. Via son interface de programmation (API), il permet au système de rendre la syndication de commentaires disponible sur de nombreuses plateformes comme Blio, GoogleBooks, WorldCat ou Edelweiss, le futur catalogue interactif des éditeurs. Le premier tome de la trilogie de Stieg Larsson a ainsi 19 000 critiques sur GoodReads, quand il n’en a more infoque 1 900 sur Amazon et totalise 80 millions d’évaluations (les étoiles) sur 2 millions de titres et 8 millions de critiques sur 500 000 titres différents.

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Aaron Miller (blog), d’Internet Archive et de BookGlutton a présenté une très intéressante présentation sur le “World Wide Web de livres”, faisant l’annonce d’un système distribué utilisable par n’importe quelle application ou système pour la lecture sociale baptisé ReadSocial API. Ce “système d’exploitation de lecteur non lié” a pour but de permettre aux utilisateurs de pouvoir faire des commentaires depuis des supports et des logiciels de lectures différents, pour qu’ils partagent leurs notes et leurs appréciations des mêmes livres qu’ils lisent. L’idée est de proposer une plateforme “interopérable” pour la sociabilité de la lecture, permettant à quelqu’un qui utilise un iPad de discuter avec un lecteur de ses amis qui lit le même livre sur un téléphone Android ou sur BookGlutton en ligne. buy dreamweaver Voilà une annonce qui promet du mouvement dans les interfaces de lecture qui va bien au-delà de la possibilité de prêter (sous condition) son livre numérique à certains de ses amis.

Signalons encore l’annonce du lancement prochain de Pandamian, un CMS issu de Wordpress dédié aux auteurs, leur permettant de transformer leurs écrits en ligne dans d’autres formats (epub, pdf…) d’un simple clic.
Le contexte avant les conteneurs

Comme le soulignait déjà Virginie, cheap dreamweaverBryon O’Leary a effectivement fait une intervention passionnante, bien qu’un peu abstraite. Sous le titre “le contexte d’abord”, il a tenté de montrer que prendre les contenus via leurs simples contenants n’était pas à terme un modèle viable. La raison : la concurrence du contexte. Pour O’Leary, nous devons ouvrir l’accès pour que les lecteurs puissent découvrir et consommer les contenus de l’édition dans et entre les domaines numériques. Selon lui, les éditeurs sont vulnérables à toute une gamme de futurs et actuels entrants perturbateurs. Les conteneurs (type fichiers epub ou pdf accessibles buy dreamweaver cheap uniquement via des entrepôts de livres) que nous imposons au public limitent la façon dont nous pensons à notre public et limite également la façon dont le public trouve les contenus. Les nouveaux entrants (comme les sites de catalogues de livres sociaux par exemple, même si O’Leary cite plutôt Craiglist ou Monster) commencent par le contexte et l’utilisent pour renforcer le contenu. Nous n’avons plus de formes physiques pour fixer des limites à nos contenus et nos contextes. Il nous faut porter attention à la reconstruction de la racine numérique du contenu : le contexte, les balises, les liens, la recherche… Nous traitons les lecteurs comme si leurs besoins pouvaient être définis par les conteneurs. Mais dans un monde numérique, la recherche s’applique d’abord sur des échantillons. Les lecteurs peuvent parfois trouver un produit spécifique, mais le plus souvent ils cherchent une réponse, une solution, qui transformeront peut-être leur intérêt en achat. “Lorsque la pénurie de contenu a été la norme, nous pourrions vivre avec un minimum de contexte. Dans un marché limité, nos rédacteurs sont devenus des experts dans la prise de décisions sur ce qui serait publié. Or, dans une ère d’abondance, les éditeurs ont hérité d’un rôle nouveau et fondamentalement différent : comprendre comment “ce qui est publié” sera découvert.” Et pour jouer ce nouveau rôle, il nous faut renverser le paradigme de l’édition. Nous devons commencer par développer du contexte, le maintenir, l’enrichir et lier avec du contenu numérique ! Dit autrement, c’est en donnant plus facilement accès à de larges parts de nos contenus, que nous attirerons les lecteurs vers nos livres.

La longue histoire de l’utilisation de conteneurs physiques pour distribuer du contenu nous a conduits à confondre format et marque. Peut-être qu’il y eut un temps où la nature physique des produits (leur apparence, la sensation qu’ils procuraient) a dominé, mais à l’ère du numérique, ce temps-là est passé. Investir dans le contexte est devenu une exigence. Mais notre accent sur le produit nous amène à nous préoccuper davantage de trouver des façons de réduire les coûts. Mais nous ratons des occasions de créer du contenu agile, découvrable, accessible. Ted Levitt, dans les années 60 parlait de la myopie marketing en évoquant la difficulté de passer d’un produit centré sur le produit à un paradigme centré sur le client. Les éditeurs ne voient pas qu’ils ont un travail à faire pour rendre plus accessibles leurs contenus, alors que les interfaces de programmation (API) permettent aux utilisateurs de toujours plus personnaliser leurs contenus. Or, la forme physique des produits ne créée pas de bonnes API, ne permet pas aux gens d’utiliser, de mélanger, d’assortir les blocs de contenus pour créer quelque chose qui leur est propre.
Les lecteurs s’attendent à trouver des réponses à ce qu’ils chercheurs, où et quand ils veulent. Alors que les éditeurs sont intéressés par la création de solutions de conteneurs qui ne les y aidera pas.

Pour Brian O’Leary il faut passer d’une mentalité debuy cheap dreamweaver produit à une mentalité de service ou de solution. Pour cela, lance-t-il aux éditeurs :

    * Notre contenu doit devenir transparent, accessible et interopérable. Le respect des normes ne sera pas une option;
    * Parce que nous sommes en concurrence sur le contexte, nous devons nous concentrer plus clairement sur son utilisation pour favoriser la découverte;
    * Parce que nous sommes en concurrence avec les entreprises qui utilisent déjà des outils à faible coût ou sans investissement, en essayant de les battre sur le coût de contenu est une proposition perdante. Nous avons besoin de développer des occasions d’encourager une utilisation plus large de notre contenu, et
    * Nous nous distinguons si nous pouvons fournir aux lecteurs des outils qui se basent sur le contexte pour les aider à gérer l’abondance.

Dit autrement (enfin, je résume et j’illustre ce que j’en ai compris), les gens n’arriveront pas aux livres des éditeurs par magie, juste parce qu’ils savent que ces livres existent. Il faut que ces contenus soient (en partie) accessibles d’une autre façon que simplement via les sites des cybermarchands. Il est important de les disséminer sur le web en partie. De faire qu’ils se lient et se relient entre eux. Sinon, quelle est la part du public qui ira jusqu’à eux ? Rendre des extraits accessibles en ligne, les diffuser sur des sites tiers est non seulement capital, mais O’Leary va même plus loin, puisqu’il suggère aux éditeurs qu’ils doivent prendre en charge ces contenus. Va-t-on voir demain des éditeurs de livre monter des sites d’information sur un domaine particulier ? C’est en tout cas, visiblement, l’une des pistes qu’il suggère.

Samedi 30 octobre 2010 à 14:49

Le groupe France Télécom a annoncé, jeudi 28 octobre, des résultats trimestriels légèrement supérieurs aux attentes, aidé en France par le rebond marqué de ses conquêtes de nouveaux abonnés buy dreamweaver dans le fixe et la croissance de ses ventes dans le mobile. Le premier opérateur télécoms français a réalisé un chiffre d'affaires de 11,6 milliards d'euros, en hausse de 1,1 %, et confirme son engagement de verser un dividende de 1,4 euro par action pour les exercices financiers 2010 à 2012.Avec une progression de 5,1 % du nombre de clients sur un an, "le groupe passe pour la première fois la barre des 200 millions de clients dans le monde", souligne le directeur général, Stéphane Richard, cité dans le communiqué.

En France, le marché historique de l'opérateur, cheap dreamweaversa part de marché des conquêtes de nouveaux clients a atteint 32,8 % au troisième trimestre, se redressant nettement après un début d'année particulièrement faible. "Le repositionnement du prix de notre service triple-play et le succès de l'offre Orange Open nous permettent de retrouver une part de conquête ADSL buy dreamweaver cheap de plus de 30 %", a expliqué l'opérateur .

SUCCÈS DE L'OFFRE "QUADRUPLE PLAY"

Orange a lancé au mois d'août son offre multiservices "Open",buy cheap dreamweaver combinant téléphonie fixe, mobile, internet et télévision. L'opérateur revendique à ce jour un peu plus de 99 000 contrats signés pour ce produit.

L'impact des baisses de prix du "triple play" sur les marges a été "limité", a estimé Gervais Pellissier, le directeur financier du groupe, lors d'une conférence téléphonique qui a chiffré cet effet à "quelques dizaines de millions d'euros au maximum". Le succès des smartphones et l'essor des services d'échanges de données sur Internet more infosur les téléphones portables ont tiré la croissance du groupe dans le segment mobile dans l'Hexagone.

L'action France Télécom a clôturé mercredi à 16,68 euros. Elle recule de 4,31 % depuis le début de l'année, à comparer à une progression de 5,5 % de l'indice sectoriel des télécoms.

Samedi 30 octobre 2010 à 14:48

L'Autorité française de la concurrence a mis fin, jeudi 28 octobre, à la procédure contre Google, qu'elle avait épinglé pour abus de position dominante au mois de juin. Le moteur de recherche avait été mis en cause pour ses pratiques publicitaires, à travers sa régie Adwords. Le groupe du moteur de recherche "devra respecter, sous peine de sanctions" ses engagements, buy dreamweavera toutefois précisé l'Autorité, qui "a décidé de clore la procédure ouverte devant elle".Soulignant que Google occupe une "position dominante sur le marché de la publicité liée aux recherches" sur Internet en France, avec 90 % des recherches, l'Autorité avait estimé en juin qu'AdWords "a été mise en œuvre par Google dans des conditions non objectives, non transparentes et discriminatoires, cheap dreamweaverau détriment des fournisseurs de bases de données radar et particulièrement de la société Navx".

UNE PLAINTE DÉPOSÉE EN FÉVRIER

Cette start-up française, fondée en 2005, qui commercialise des bases buy dreamweaver cheap de données de localisation des radars routiers pour GPS, avait déposé plainte au mois de février. Fin 2009, Navx s'était vu refuser la publications de liens sponsorisés pour ses services par Google, qui lui avait signifié que ces liens étaient "contraires à la politique de contenus" du moteur de recherche. Navx a alors demandé des explications à Google – qui édite par ailleurs son propre système de cartes (Google maps) et de navigation (Latitudes).

La décision, prononcée au mois de juin,buy cheap dreamweaver était à titre conservatoire, celle-ci porte désormais sur le fond. "Google s'est engagé à rendre plus transparent et prévisible pour les annonceurs le fonctionnement de son service AdWords concernant les dispositifs de contournement des contrôles routiers en France", explique l'Autorité, qui note aussi que Google a rétabli le compte AdWords de la société Navx.

Selon le quotidien Les Echos, l'entreprise française a aussi assigné more infoGoogle devant le tribunal de commerce, vendredi 1er octobre, réclamant 7 millions d'euros de dommages et intérêts.

Samedi 30 octobre 2010 à 14:46

Star des réseaux sociaux au début des années 2000, MySpace a aujourd'hui perdu de buy dreamweaver sa superbe. Une chute de 20 % du trafic en deux ans, 100 millions de dollars de pertes pour l'exercice 2009-2010, 90 millions d'utilisateurs et surtout un concurrent de taille, Facebook. Alors que ce dernier mise sur un design plutôt sobre, cheap dreamweaverMySpace pâtit d'une image désormais "ringarde" avec des profils clinquants et surchargés, rendant la navigation difficile.ACCENT SUR LES STARS PLUTÔT QUE SUR LES AMIS

Pour y remédier, le site a annoncé une refonte graphique buy dreamweaver cheap totale, beaucoup plus proche des normes actuelles. Epuré, fluide, et avec un nouveau logo ("My___"), MySpace tente de se relancer en misant sur le partage des centres d'intérêt (pages sur des groupes de musique, séries, films...).

La page d'accueil du site présentera ainsibuy cheap dreamweaver les vidéos, chansons et articles les plus populaires, mettant l'accent sur les loisirs et les stars plutôt que sur les activités de ses amis, un créneau déjà occupé par Facebook. "Nous faisons du divertissement social, pas un réseau social", explique le PDG de MySpace, Mike Jones. Les utilisateurs pourront également synchroniser leur compte avec Youtube, Twitter et Facebook, pour y faire apparaître leur activité. Objectif, (re)conquérir les 13-35 ans.more info


Samedi 30 octobre 2010 à 14:35

Placé en liquidation judiciaire cet été par le tribunal de commerce de Paris, le site Jiwa.fr, qui permet d'écouter légalement de la musique en ligne sans téléchargement, a pu trouver un repreneur. La société Digiteka, buy dreamweaver spécialisée dans la distribution et la monétisation de services Web, va racheter la plateforme et renégocier les contrats avec les ayants droit."Nous souhaitons relancer le site mi-novembre - début décembre sous réserve de finaliser les accords avec les ayants droit.cheap dreamweaver Le site proposera une offre haut de gamme payante, mais aussi un modèle économique un peu innovant", a indiqué le président de Digiteka, Charles Ganem.

Jiwa n'avait pas pu trouver de modèle économique viable lui permettant de payer près de 1 million buy dreamweaver cheap d'euros aux ayants droit pour pouvoir offrir aux internautes l'écoute légale de près de cinq millions de chansons. Digiteka a annoncé une renégociation des minima garantis sur une base de 500 000 euros, selon Les Echos.

Le site devrait également obtenirbuy cheap dreamweaver le soutien d'un partenaire industriel. "Nous avons été approchés par plusieurs partenaires potentiels, explique Charles Ganem. Le concept de musique illimitée en streaming intéresse beaucoup de monde, du secteur des télécoms aux distributeurs en passant par les médias." Cet été, l'opérateur Orange est entré dans le capital de Deezer, more infola principale plateforme musicale en streaming française.

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